Karbainov N., Gloriozova E. Droits de propriété et expropriations à Sotchi: gagnants et perdants des JO 2014. Connexe: Les espaces postcommunistes en question(s), 2016, Dossier 2, Sotchi 2014: La Russie à l’épreuve de ses Jeux, les Jeux à l’épreuve du Caucase, pp. 59 – 80. Karbainov N., Gloriozova E. Droits de propriété et expropriations à Sotchi: gagnants et perdants des JO 2014. Connexe: Les espaces postcommunistes en question(s), 2016, Dossier 2, Sotchi 2014: La Russie à l’épreuve de ses Jeux, les Jeux à l’épreuve du Caucase, pp. 59 – 80.ISSN 2406-5749Размещена на сайте: 03.10.17 Поискать полный текст на Google AcademiaСсылка при цитировании:Karbainov N., Gloriozova E. Droits de propriété et expropriations à Sotchi: gagnants et perdants des JO 2014. Connexe: Les espaces postcommunistes en question(s), 2016, Dossier 2, Sotchi 2014: La Russie à l’épreuve de ses Jeux, les Jeux à l’épreuve du Caucase, pp. 59 – 80.Droits de propriété et expropriations à Sotchi: gagnants et perdants des JO 2014. Connexe: Les espaces postcommunistes en question(s), 2016, Dossier 2, Sotchi 2014: La Russie à l’épreuve de ses Jeux, les Jeux à l’épreuve du Caucase, pp. 59 – 80.Авторы:Карбаинов Н.И., Глориозова Е.АннотацияCet article est consacré à l’analyse du phénomène d’expropriation à Sotchi, ville hôte des Jeux Olympiques d’hiver 2014. En se basant sur la théorie du paradigme critique, il tente d’analyser la répartition des bénéfices et des coûts économiques et sociaux pour les habitants de Sotchi dont la propriété immobilière a été réquisitionnée au profit du projet olympique. Parmi eux, on peut identifier les « gagnants », qui ont reçu une compensation pour leur propriété réquisitionnée, et les « perdants », qui n’ont pas reçu de telle compensation. L’article tente de répondre à la question de recherche suivante : comment, dans un contexte de dirigisme étatique et d’absence de droits de propriété légaux, certains habitants de la baie d’Imérétie ont-ils pu faire légaliser leurs droits de propriété et recevoir une compensation financière ou en nature pour la réquisition de leur propriété immobilière ? En se basant sur les résultats d’études de terrain menées à Sotchi en 2010, 2011 et 2013, l’article permet de mettre en évidence cinq facteurs explicatifs : la visibilité internationale des JO ; la mobilisation et l’organisation d’un mouvement de protestation par les habitants de Sotchi ; un modèle de dirigisme étatique ultra-centralisé ; le flou juridique caractéristique des régimes transitoires de propriété dans les États post-soviétiques ; ainsi que la légitimité des droits de propriété informels pour la collectivité et les élites politiques locales. Ключевые слова: мегасобытия изъятие собственности права собственности олимпийские игры сочи государственный дирижизм mega-events property property seizure property rights olympic games sochi state dirigisme Оглавлениескрыть оглавлениепоказать оглавление Рубрики: Социология конфликтаСоциология праваВозможно, вам будут интересны другие публикации:Батыков И. В.Юридические риски предпринимателей, связанные с широко известными «советскими« торговыми марками в современной России // Проблемы экономики и юридической практики. 2018. № 4. С. 115-119.Курюкин А. Н.Комплексный правовой анализ экономических инноваций: внутренние и внешние факторы // Актуальные вопросы инновационной экономики. 2016. № 13. С. 9-18Батыков И. В.Правовая роль фактора известности в функционировании товарных знаков // Современная наука: актуальные проблемы теории и практики. Серия: экономика и право. 2019. № 5. С. 95-100.Варламова С. Н., Скворцова Т.А.Киберпиратство в современной России // Социальная мобильность молодежи. I Международная научная конференция. Материалы и доклады. – М.: РХТУ им. Д.И. Менделеева, 2018. С. 69-76.Galindabaeva V. Pourquoi les léopards n’aiment-ils pas les chiens errants? Grands événements sportifs, machines de croissance et pratiques néopatrimoniales en Russie. Connexe: Les espaces postcommunistes en question(s), 2016, Dossier 2, Sotchi 2014: La Russie à l’épreuve de ses Jeux, les Jeux à l’épreuve du Caucase, pp. 81 – 102.